La matinale de TF1 s’allonge avec l’arrivée de Bonjour ! Avec Vous, une émission de 10h à 11h qui offrira plus de dialogue avec le public dès le 19 janvier 2026. Christophe Beaugrand en sera aux commandes. Et il s’est confié sur son actualité auprès de Déborah Grunwald sur France Bleu. À cette occasion, le papa de 48 ans a aussi accepté d’évoquer sa vie de famille.

Depuis la naissance de leur fils prénommé Valentin, âgé de six ans, Ghislain Gerin et son mari profitent d’une vie de famille heureuse et épanouie. Mais, ils ne sont pas à l’abri des commentaires haineux. Ciblé par les messages homophobes, l’animateur de la Une est monté au créneau.

"Je suis un esclavagiste..."

En couple avec Ghislain Gerin depuis 2012, Christophe Beaugrand a scellé son union avec son compagnon en juillet 2018. Et un an plus tard, les deux hommes ont fondé une famille. Leur fils n’a cependant pas été adopté. Il est né grâce à la gestation pour autrui (GPA), aux États-Unis. Une pratique qui divise toujours en France.

Lors de cette récente interview, l’animateur de Secret Story a réagi face aux commentaires haineux, le visant lui et son époux, sur les réseaux sociaux. Et il a notamment dénoncé la reprise de propos venant, selon lui, "des anciens réseaux de la Manif pour tous".

Les messages que je reçois disent que je suis un esclavagiste qui a utilisé une femme dans la misère pour arracher un enfant de ses entrailles. Ce genre de choses.

Christophe Beaugrand remet les pendules à l’heure

Continuant sur sa lancée, le présentateur de TF1 a voulu clarifier la procédure de GPA qu’ils ont engagée aux États-Unis. "C'est ce qu’on appelle la GPA éthique. Elle est extrêmement encadrée juridiquement. On est loin du profil d’une pauvre dame qui vit dans une caravane au fin fond du désert. Qui est obligée de porter des enfants pour gagner sa croûte. Ce n'est pas vrai ça !", précise-t-il.  

Et de poursuivre :

Je ressens de la colère oui. Quand je vois des gens qui volontairement vont agiter des arguments qu’ils savent faux pour salir nos familles.

Voilà qui est dit !