Une interview qui risque de faire beaucoup de bruit... Laurence Boccolini s’est récemment confiée à Jordan De Luxe pour son émission Le Jet De Luxe, diffusée sur YouTube. L’occasion pour l’animatrice de revenir sur son éviction des Enfants de la télé… et de tacler, au passage, sa remplaçante, Faustine Bollaert.
"Je n'ai pas compris ce qui se passait"
En attendant de découvrir cet entretien dans son intégralité, Jean-Marc Morandini a dévoilé sur son blog un extrait de ces confidences. Laurence Boccolini y évoque son départ de l’émission diffusée sur France 2. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle a appris la nouvelle de façon brutale...
“Je n’ai pas compris ce qui s’est passé. J’ai quitté ma dernière émission de la saison et on se donne rendez-vous le 31 août pour le tournage de la première émission de la rentrée. Il fallait alors que je fasse signer mon nouveau contrat, et au moment où j’ai voulu le faire signer, personne ne m’a répondu, mais absolument personne”, s’est-elle souvenue.
Ainsi, France Télévisions a décidé de confier l’émission à Faustine Bollaert. De quoi mettre la femme de Maxime Chattam dans une situation particulièrement délicate. Mais cette dernière a récemment assuré avoir échangé quelques mots avec Laurence Boccolini avant de reprendre le programme.
“Je lui en ai parlé, c’est vrai que je me suis interrogée. Je me suis permis de lui poser la question directement à elle, lui demandant ce qu’elle attendait que je fasse, parce que moi aussi, je me retrouvais dans une situation qui me dépassait. Elle s’est montrée très bienveillante à mon égard. Je pense qu’elle était blessée et je le comprends parfaitement”, révélait Faustine Bollaert au micro de RTL.
"Elle ne m'a même pas appelée"
Des confidences qui n’ont pas manqué de faire réagir Laurence Boccolini. Face à Jordan De Luxe, l’animatrice ne s’est pas montrée particulièrement tendre avec sa remplaçante.
Et d’expliquer :
Elle ne m’a même pas appelée, juste envoyé un SMS, tard le soir, au cœur de l’été, en me disant qu’elle était désolée et qu’elle ne savait pas que je n’avais plus rien. Elle m’a assurée de ‘sa sororité’. Franchement, il faut arrêter avec ce mot-là. Si elle pensait que j’avais beaucoup de choses sur la grille, il fallait m’appeler. Ça m’a mise en colère...
Voilà qui a le mérite d’être clair...