Un an après la victoire d’Alexis, la Maison des Secrets a rouvert ses portes le 10 juin 2025, pour une treizième saison qui semble ravir les attentes des téléspectateurs. Comme lors de son lancement en 2017, le concept de l’ancienne émission culte de TF1 n’a pas changé. Il consiste à isoler plusieurs candidats dans un lieu clos, qui doivent dissimuler un secret personnel le plus longtemps possible, tout en tentant de découvrir ceux de leurs concurrents.
Cette année, la production de Secret Story a recruté 14 nouveaux candidats, tous désireux de remporter la coquette somme de 100 000 euros destinée au vainqueur. Parmi ceux encore en compétition figurent Noah, Constance, Ethan et Pimprenelle, tous deux natifs de Belgique, ou encore Romy.

Un comportement décrié
Lors du prime du 3 juillet 2025, Marianne a quitté l’aventure au bout d’un mois et ne s’attendait certainement pas à ce qu’elle allait lire à son sujet sur les réseaux sociaux. Accusée de s'acharner sur Romy et Anita, la native des Vosges a essuyé de nombreuses critiques sur la Toile. Au point que la production a jugé bon d’intervenir, afin de rappeler les règles du jeu.
Secret Story est un jeu, que le cyberharcèlement est puni par la loi, et au-delà de la loi c'est une question de respect, de bienveillance et de vivre ensemble.
Avait rappelé Christophe Beaugrand à l’antenne.
Mais cette timide prise de parole n’aura pas franchement convaincu les internautes, qui espéraient bien plus de sévérité qu’un simple avertissement. “Donc ils continueront de se faire harceler mais en cachette ? C’est de l’harcèlement pur et simple et un simple message de rappel à l’ordre ?", a-t-on pu lire sur X, parmi les réactions outrées des téléspectateurs.
Marianne rétablit sa vérité
Quelques jours après son élimination, Marianne a accordé une interview à Jeremstar, sur la chaîne YouTube de l’ancien blogueur spécialiste de l’âge d’or de la télé-réalité. Après avoir réagi aux accusations de harcèlement et de racisme dont elle fait l'objet, la jeune femme a été interrogée sur un sujet bien plus léger, à savoir sa relation avec Mayer, le beau gosse du programme.
On a l'impression qu'à un moment donné dans cette aventure, (…) tu fais exprès de draguer Mayer parce que tu sais qu'il y a un petit crush, éventuellement avec Romy.
Lui a lancé Jeremstar, curieux d’en savoir plus.

Ce à quoi Marianne a répondu, soucieuse de remettre les pendules à l’heure : “Non, pas du tout. Alors déjà j'ai jamais dragué Mayer. Mayer il a 24 ans, moi j'en ai 32. Il y a une sacrée différence d'âge entre nous”. Face à l’insistance de Jeremstar, qui lui a rappelé ses fameux “Est-ce que tu veux sortir avec moi ?”, la candidate a assuré qu’il s’agit d’une blague récurrente, qui lui est propre :
C'est ma blague de toujours. (…) On a 8 ans, c’est oui ou non sur une petite feuille qu'on dit ça.
Pas de crush en vue donc, mais plutôt une "obsession" pour le duo phare de cette nouvelle saison. Car Marianne n’avait pas oublié les règles du jeu et était convaincue qu'ils avaient un secret en commun : "On en est persuadé, tous. Donc effectivement, parfois, je l'ai piqué un peu, c'était dans le jeu. Et Mayer, encore une fois, je me répète, c'est un ami et rien de plus". Et d'insister, s’adressant directement à l’intéressé :
Mayer, désolé. Mayer, tu es très beau mais non merci, quoi.
"Deux relations différentes"
Lancée dans ses déclarations, Marianne a ensuite décrit l’ambiance qui régnait vraiment dans la maison. “Il y a Romy et Mayer et il y a Marianne et Mayer. C'est deux relations différentes", a-t-elle tenu à préciser.
Et ça il me le dit, il me dit : "Donc, ne t'empêche pas de venir vers moi". Donc, j'ai continué à être comme j'ai toujours été avec lui depuis le début.

D’ailleurs, les petits surnoms étaient de rigueur. Si Mayer ne partage visiblement pas les mêmes sentiments que Romy, qu’il a qualifiée de "tata", Marianne a eu droit au même surnom de la part du jeune homme :
Il y a pas longtemps. Je sais pas si tu as vu, mais il a qualifié Romy de "tata". En fait, dans la maison, vu qu'on était les deux plus âgées avec Romy, on nous appelait "les tatas" toutes les deux.
A-t-elle expliqué, mettant les choses au clair une bonne fois pour toute.